On retient mieux ce qu’on n’a pas fini. C’est l’effet Zeigarnik. Un nom savant pour désigner ce qui nous ronge doucement, quand on laisse quelque chose en plan. Notre inconscient, qui ne veut que notre bien, met un point d’honneur à se souvenir de la tâche laissée en suspens. Je me demande pourquoi personne ne m’en avait parlé avant…
Ça a été un plaisir de te lire. De te vivre. C'est étrange d'entendre ta voix sur des mots. En te lisant, je me suis fait cette réflexion : Ça demande un sacré talent de raconter, d'écrire, de faire transparaître son identité et en même temps, réussir à me connecter au texte, à la narration et de poser des textes que j'ai trouvé dramatiquement drôle. Oui je t'ai reconnu, et pourtant ces textes étaient plein d'une facette que je ne connaissais pas (assez) de toi. Ce que j'écris n'a pas forcément de sens, mais j'espère que tu me comprends. Autrement dit, t'es textes m'ont fait encore plus apprécié l'être génial que tu es, et ce n'est pas pour te passer de la pommade.
C'est une très belle fin. Bisous frérot.
Ça a été un plaisir de te lire. De te vivre. C'est étrange d'entendre ta voix sur des mots. En te lisant, je me suis fait cette réflexion : Ça demande un sacré talent de raconter, d'écrire, de faire transparaître son identité et en même temps, réussir à me connecter au texte, à la narration et de poser des textes que j'ai trouvé dramatiquement drôle. Oui je t'ai reconnu, et pourtant ces textes étaient plein d'une facette que je ne connaissais pas (assez) de toi. Ce que j'écris n'a pas forcément de sens, mais j'espère que tu me comprends. Autrement dit, t'es textes m'ont fait encore plus apprécié l'être génial que tu es, et ce n'est pas pour te passer de la pommade.
J'espère assister ou lire ou voir plus de toi.
A bientôt l'ami.